LIBRE OU MOURIR
- Wilsonn Telimo Lwi

- il y a 6 jours
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LIBRE OU MOURIR

La France n'a pas remboursé ses dettes envers Haïti, héritées des réparations exorbitantes liées à l'esclavage. Malgré l'indépendance d'Haïti en 1804, la France a exigé une rançon de 150 millions de francs, ce qui a freiné considérablement son développement. Le Groupe du Noyau et les invasions militaires ont encore aggravé la situation, engendrant une pauvreté persistante et une instabilité économique.
Il est crucial de défendre Haïti, car la communauté internationale se doit de reconnaître et de réparer les injustices historiques subies par ce pays. La reconnaissance par la France de sa dette injuste envers Haïti se fait attendre depuis trop longtemps, et elle doit être tenue responsable des réparations dues aux descendants des victimes.
La Révolution haïtienne, symbolisée par des figures telles que l'empereur Dessalines et la bataille décisive de Vertières en 1803, a fait d'Haïti le premier pays noir à devenir indépendant et le premier à abolir l'esclavage. Cependant, la dette imposée par la France en 1825 continue de peser lourdement sur Haïti, créant une double dette qui enrichit les oligarques corrompus mais nuit à la nation.
Il est essentiel de soutenir Haïti, de mettre fin au soutien apporté aux gangs et de lutter contre la traite des êtres humains. Haïti n'est qu'à deux heures des États-Unis, et pourtant, elle a dû faire face à d'importants défis en raison des actions historiques de la France qui ont freiné son développement.
Wilsonn Telimo Lwi
Bachelier en sciences juridiques
Diplômé de master en fonction publique
Président d'ITIYAyiti
Haïti autonome KÒTAKÒT.












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